Mémo .V

(MAJ le 30/10 - je continuerai à mettre à jour cet article pour les ajouts/corrections de lancement)

Après avoir longtemps procrastiné (et aussi parce qu’une bonne partie de mon taf consiste à s’occuper d’un site internet, donc la motivation manque parfois pour s’occuper du mien), voici quelques nouvelles.

Nouvelle maison…

Tout d’abord, le plus évident : le site a changé. J’ai longtemps hésité, planifié et replanifié, mais c’est (presque) terminé : je suis enfin passé d’un site Web statique généré avec [Publii](https://getpublii.com) à… un site statique généré avec [Hugo](https://gohugo.io).

Notez que les deux systèmes produisent un site à héberger soit même, à la différence des plateformes Blogger ou Wordpress (sur wordpress.org en tout cas). Publii est assez pratique : il cumule un logiciel avec une interface graphique simple qui permet de mettre en place un site rapidement, je le recommande encore pour les utilisateurs qui veulent à la fois une certaine autonomie et un résultat plus rapide et léger que Wordpress avec ses options par milliers et sa base de données.

Pour ma part, je souhaitais m’affranchir d’un logiciel complet et m’orienter vers une solution certes moins simple, mais beaucoup plus autonome et flexible. Après quelques hésitations entre plusieurs générateurs, j’ai opté pour Hugo.

La transition s’est révélée plus complexe que prévu :

• J’ai choisi un thème minimaliste qui ne répondait pas entièrement à mes attentes. J’ai dû ajouter quelques éléments supplémentaires (sous-menu, bloc d’information, logo local, quelques ajustements CSS, etc.).
• Je voulais pouvoir utiliser Obsidian pour gérer simplement le contenu des articles. Cela m’a imposé de modifier la configuration de la structure du site.

Heureusement, la plupart du contenu était déjà rédigé en Markdown, donc la migration des articles a été facilitée : il suffisait d’ajouter les paramètres FrontMatter dans chaque fichier et de revoir la gestion des images.

Au final, je suis assez content du résultat. Le site est passé de 103,1 Mo à 16,3 Mo, soit une réduction de 84 %. Le site est donc très léger et rapide, sans aucun contenu dynamique et toujours sans aucun cookie ni outil de tracking.

Au passage, j’ai supprimé le système de commentaire. Il n’était guère utilisé et je préfère échanger sur Mastodon ou par mail si nécessaire.

Il me reste plusieurs choses à gérer ou ajouter. Un petit changelog :

• J’ai ajouté un bloc d’information pour certains contenus, comme les livres, avec les informations essentielles. C’est sympa, mais il manque le style pour le mode sombre
  • C’est réglé
• Le flux RSS fonctionne, mais avec un contenu tronqué. Je souhaite fournir le contenu intégral des articles dans le flux ;
  • 27/10 C’est bon !
• Il y a un lien vers Mastodon dans le header, mais je vais essayer d’ajouter un bouton de partage direct en bas de chaque article
  • 27/10 C’est en place
• Et enfin, j’essayerais d’ajouter un système de publication automatique vers mon compte Mastodon pour chaque nouvel article.
  • 27/10 Cela semble compromis pour un site statique, de ce que je comprends il faut un composant actif côté serveur et je ne le souhaite pas, tant pis !
• 27/10 : le bouton pour basculer en mode clair/sombre et le bouton de partage sur Mastodon reposent sur un soupçon de javascript. Dorénavant ces deux boutons sont invisibles si javascript est désactivé, on évitera les frustrations.
• 27/10 : correction de quelques liens qui pouvaient générer une erreur.
• 30/10 : les images sont maintenant centrées et disposent d’une légende et d’un alt-text (je dois encore rattrapé certains contenus, ça arrive).
• 30/10 : les images sont chargées de façon asynchrone, au fur et à mesure du défilement de la page.
• 30/10 : ajout que quelques fioritures markdown / html (surlignage, notes de bas de page, bloc de mise en avant)

… et du contenu ?

Après un long hiatus, j’ai publié récemment 3 articles. Point de chronique de livre cette fois, mais plutôt des sujets geek. Je ne désespère pas de partager à nouveau mes lectures récentes, mais je ne trouve m’accorde pas le temps. On verra bien.

D’ici là, faites comme chez vous !